“…Ce type de traitement ne tolère aucun défaut réductionnel et les critères radiographiques habituels prennent mal en compte un éventuel trouble rotationnel [10]. Il existe donc un rôle arthrogène d'un cal vicieux malléolaire, surtout si celui-ci est en raccourcissement, varus et/ou trouble rotatoire, comme l'a bien montré la série de Biga et Defi ves [6] dans 50 % des cas (fi gure 12).…”