“…In vivo, la délétion de cIAP1 diminue la croissance des tumeurs xénogreffées chez la souris nude et retarde fortement le dévelop-pement de nodules cancéreux pulmonaires après injection de cellules tumorales dans la veine caudale [9]. Un traitement de cellules tumorales par un antagoniste des IAP conduit aussi à des changements morphologiques importants avec un allongement des cellules et l'apparition de protubérances à leur surface [8,10] [1][2][3]. Cependant, le virus a souvent appris à éviter les produits de ces gènes, nommés facteurs de restriction, soit en utilisant des protéines virales antagonistes, soit en mutant l'élément viral ciblé [3].…”