Validation of the Lollipop Test: A Diagnostic Screening Test of School Readiness

Abstract

The validity of the Lollipop Test: A Diagnostic Screening Test of School Readiness was examined by using the Metropolitan Readiness Test (MRT), Level I, Form Q, as the criterion. The sample of 293 kindergarten pupils was administered the MRT by their teachers in classroom groups; the Lollipop Test was individually administered by qualified examiners. The statistical significance of all correlations (p < .001) demonstrated appreciable concurrent validity across the test batteries. Further, a canonical correlation indicated a high degree of multivariate relationship between the tests. Implications of these results were discussed with respect to school readiness screening and the use of the Lollipop Test.

Maternal mind-mindedness and children’s school readiness: A longitudinal study of developmental processes.

“…In the current study, all children who completed the Lollipop completed all four scales; accordingly, use of the total score was appropriate. This score correlates highly (r = .76) with that on the Metropolitan Readiness Tests (Chew & Morris, 1984), and has been shown to predict school achievement (Eno & Woehlke, 1995) up to 4th grade (Chew & Morris, 1989).…”

The role of the executive functions in school achievement at the end of Grade 1

“…Developed by Chew (1981), this instrument is intended to measure school readiness in preschoolers. Easily administered, the Lollipop Test consists of exposing children to seven stimulus cards and asking them to point to or name specific colors, forms, letters, or numbers.…”

De l’utilité du dépistage cognitif et socio-affectif à l’âge préscolaire

“…Ainsi, Capuano et al (2001) n'obtiennent pas de différence significative à la fin de la maternelle en comparant un groupe d'enfants qui ont bénéficié de l'un ou l'autre des deux programmes mentionnés ci-dessus à un groupe d'enfants qui n'ont pas bénéficié de ces programmes. Les variables comparées sont d'ordre tant socio-affectif (compétence sociale, anxiété et agressivité évaluée avec le PSA-A, LaFreniere et Dumas (1996) que cognitif, soit le QI calculé à l'aide de l'échelle de Weschler (1989) et la maturité scolaire évaluée avec le Lollipop (Chew, 1989). S'interrogeant sur cette absence de différence, les auteurs émettent deux hypothèses concurrentes : 1) les enfants ayant bénéficié des programmes d'intervention précoce ont rattrapé le niveau des autres enfants, et donc le programme a exercé l'effet voulu ; ou 2) le programme d'intervention précoce de deux ans n'a pas donné plus de bénéfices que le programme d'un an.…”

“…Sur le plan cognitif, la maturité scolaire des enfants a été évaluée, aux temps 1 et 2 de l'étude (soit au début de la prématernelle et au début de la maternelle), à l'aide du test Lollipop (Chew, 1989) pour vérifier les connaissances des enfants relativement aux couleurs, formes, lettres et chiffres. Les propriétés psychométriques de la version française du Lollipop sont satisfaisantes, cet instrument se révélant un meilleur prédicteur du succès scolaire qu'une version abrégée du WPPSI-R (Weschler, 1989) Le rendement scolaire des enfants évalué à la fin de la première année du primaire a été calculé à partir d'un score global obtenu à des tests de lecture, d'écriture et d'arithmétique approuvés par le ministère de l'Éducation du Québec.…”