Le sport fédéral et associatif connaît, depuis une trentaine d’années, un développement du salariat. L’association sportive a recruté, souvent à moindres coûts, des salariés pour encadrer, animer voire dynamiser cette entité. L’objectif de cet article est de voir quelles manières ces acteurs tendent à survaloriser le potentiel et la qualité de l’emploi et à minimiser la précarité possible.