Omalizumab, anti-IgE recombinant humanized monoclonal antibody, for the treatment of severe allergic asthma

IgE expression pattern in lung: Relation to systemic IgE and asthma phenotypes

“…In contrast, the groups were similar in both numbers of FcεRIβ+ cells [overall p=0.12; SAeo + median (IQR) = 0/mm 2 Although lymphocyte numbers were also higher in SAeo+ than in all other groups (overall p=0.003, p<0.05 for each intergroup comparison), they correlated to a lesser degree with IgE + cells and %MC IgE+ (r s =0.37; p=0.0004 and r s =0.23; p=0.03, respectively) than did eosinophils. The dose of oral steroids did not significantly correlate with the number of IgE+ cells, %MC IgE+ or serum IgE (r s =−0.07; p=0.52, r s =−0.008; p=0.94 and r s =0.12; p=0.32, respectively)).…”

From IgE to Anti‐IgE: Where do we stand?

“…5). Mean number of exacerbations in the anti-IgE treatment group during the stable-steroid and the steroid-withdrawal phases were 58% and 52% lower, respectively (P < 0.001 for both) (60). This reduction in asthma exacerbations in the anti-IgE treatment group was obvious despite significantly lower use of ICS (126 lg/d BDP in the anti-IgE vs. 210 lg/d in the placebo group) or complete withdrawal of BDP (43% anti-IgE vs. 19% placebo, P < 0.001) during the steroid-withdrawal phase.…”

Le récepteur de forte affinité pour l’IgE : leçons d’une analyse structurale

“…Chez les patients ayant un asthme modéré, le traitement a réduit certaines des réponses précoces et tardives observées lors d'un test de provocation par les allergènes [31,32]. Chez des patients dont l'asthme modéré ou sévère nécessitait le recours à la corticothérapie, trois études chez des adultes [33][34][35] et une étude chez des enfants [34] ont été pratiquées. Le traitement améliorait les symptômes, entraînait une réduction de la fréquence des crises et permettait de diminuer les doses de corticoïdes, autorisant parfois l'arrêt complet de la corticothérapie.…”

“…La réduction de la corticothérapie est un avantage majeur compte tenu des effets secondaires de l'emploi des sté-roïdes au long cours, en particulier chez les enfants. En ce qui concerne les paramètres respiratoires, les résultats variaient d'une étude à l'autre, allant de l'absence d'amélioration des performances [33] à la récupéra-tion partielle de l'amplitude du souffle ou volume expiratoire forcé en 1 seconde [33][34][35]. Deux études ont été pratiquées chez des patients atteints de rhinite allergique.…”