“…L'obligation de reclassement (Desbarat, 2010 ;Fantoni, 2016) se traduit le plus souvent par une gestion au cas par cas, peu anticipée et où prévaut la dimension fortement discrétionnaire du processus à l'oeuvre (reconnaissance des qualités professionnelles, degré de proximité relationnelle entre le salarié et son équipe) (Maresca & Dujin, 2011). De plus, « paradoxalement, entrer en inaptitude réclame de bonnes capacités d'adaptation : gérer l'incertitude de sa situation, s'adapter à un nouveau métier, à une nouvelle équipe » (Laé, 1991).…”