Modelling and estimation of physical parameters in a sludge drying system

Albino, D.S.; Barros, Péricles Rezende; Neto, José Sérgio da Rocha; Haandel, Adrianus C. van; Cavaicanti, P.F.

doi:10.2166/wst.2002.0632

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“…According to Liang et al [32], 50 % of moisture content is considered as the minimal requirement for rapid increase in microbial activity in sludge. It was confirmed that using solar drying plays an interesting role for the bacterial reduction of the wastewater sludge [1,33,34]. However, the solar drying of Sludges I and II in cold period showed that the total and fecal coliforms were not significantly affected during prolonged hours of low solar radiation, low temperature and high air velocity.…”

Section: Pathogenic Bacteria Removalmentioning

confidence: 92%

Solar Greenhouse Drying of Wastewater Sludges Under Arid Climate

Belloulid

Hamdi

Mandi

et al. 2016

Waste Biomass Valor

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Wastewater sludges were dried in an open greenhouse pilot in order to provide experimental data about solar greenhouse drying under an arid climate during hot and cold periods. Climatic conditions, solids contents and geometric dimensions were constantly measured. The shape change of samples was constantly recorded with digital scan. The results indicated that solar greenhouse drying reduced the moisture content from about 4 kg water/kg DS to 0.08 kg water/kg DS in hot period and to 0.2 kg water/kg DS in cold period in only 72 h. The higher values of drying rate were obtained in hot season. The maximum ranges obtained were 0.2 kg water/kg DS.h and 0.13 kg water/kg DS.h in hot and cold campaigns, respectively. Furthermore, a large volume reduction representing at least 80 % of initial volume was observed in both periods after 72 h of drying process. Also, shrinkage and cracks phenomena took place inside sludges. An improvement of the microbial condition of treated sludges was noted in hot campaign with a decrease by one order of magnitude after only 24 h for total and fecal coliforms and after 72 h for Clostridium perfringens, Escherichia coli, Pseudomonas aeruginosa and Staphylococcus aureus contents. These pathogenic bacteria were almost constant for fresh and dry sludges in cold period. The paper recommends the solar drying in hot as in cold periods under arid climate considering its average drying rate outside the rainy periods.

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Section: Pathogenic Bacteria Removalmentioning

confidence: 92%

Solar Greenhouse Drying of Wastewater Sludges Under Arid Climate

Belloulid

Hamdi

Mandi

et al. 2016

Waste Biomass Valor

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“…L'introduction de la microtomographie à rayons X a permis de suivre le comportement du produit durant le processus de séchage, de déterminer les profils d'humidité à l'intérieur du produit [8] et de suivre les différents changements de texture qui peuvent apparaître, comme le retrait, permettant ainsi le calcul de la porosité et la surface d'échange [9]. Vu le traitement récent de ce sujet, les résultats présentées sont des résultats expérimentaux et peu de travaux ont abordé la modélisation et la simulation du comportement des boues durant le séchage [10][11][12][13].…”

Section: Introductionunclassified

Etude expérimentale et modélisation du séchage de boues générées par l’épuration des eaux usées

Bennamoun,

Leonard

2023

J. Ren. Energies

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Dans ce travail, des résultats expérimentaux relatifs au séchage de boues générées dans deux stations d’épuration d’eaux usées sont présentés. Les expériences ont été effectuées dans un sécheur convectif reproduisant le fonctionnement d’un sécheur à bandes. Pour chaque essai, 1 kg de produit humide est extrudé en cylindres de 12 mm de diamètre sur une grille perforée au travers de laquelle l’air chaud circule. Le produit est séché jusqu’à élimination de la totalité de l’humidité initialement présente. Les résultats obtenus montrent que le procédé est affecté par plusieurs paramètres, tout particulièrement les conditions externes, c’est-à-dire les propriétés de l’air de séchage, comme la température, mais aussi par des conditions internes, c’est-à-dire la nature des boues. Les résultats expérimentaux ont été modélisés. Pour le 1er type de boues, le modèle de Page a présenté les meilleurs résultats avec un coefficient de corrélation égal à 0.9996 et une erreur standard égale à 0.0081. Cependant, pour le 2ème type de boues, le modèle polynomial de 4ème degré donne des résultats comparables au modèle de Page, avec des coefficients de corrélation qui changent avec la température de l’air, mais qui avoisinent l’unité et avec des erreurs standard allant de 0.0037 et 0.081.

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