“…Sur la localisation vulvaire du lichen srléro-a trophique vulvaire du L.S.A. ne ferait donc pas partie de l'évolution naturelle de cette affection, mais elle traduirait, ainsi que l'observation de nos cas nous l'a m ontré, l'intervention d'un autre processus pathologique, qui se superpose fréquem ment à elle, à savoir le développement à la sur face de la lésion propre du L.S.A.V., de plaques leucoplasiques, lésions à potentiel oncogène, comme l'on sait, très prononcé [17,21,22,23,24].…”