2002
DOI: 10.3406/ecofi.2002.3577
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Les facteurs de différentiation des banquiers mutualistes et commerciaux en matière de financement des PME

Abstract: L’objet de cet article est de rechercher les facteurs qui différencient les chargés de clientèle des banques mutualistes des chargés de clientèle des banques commerciales en matière de financement des PME. Ces facteurs de différenciation sont identifiés à partir des réponses obtenues dans le cadre d’une enquête auprès d’un échantillon représentatif selon le type de banque de la population des chargés de clientèle PME de la région Basse-Normandie. Les méthodes d’analyse des données réalisées mettent en évidence… Show more

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“…RÉSULTATS D'UNE ENQUÊTE RÉGIONALE SYLVIE CIEPLY * I l y a plus de dix ans ont été publiés les résultats d'une enquête portant sur le comportement des chargés d'affaires entreprises et la nature des relations qu'ils nouent avec leurs clients (Cieply et Grondin, 1999 ;Abdesselam et al, 2002). Ces articles ont montré la faible propension des banquiers à rationner le crédit quand existe une relation de clientèle, quel que soit le statut de leur établissement (mutualiste ou AFB -Association bancaire des banques), le comportement de rationnement étant essentiellement concentré sur la population des prospects et, en particulier, des entreprises les plus petites et les plus jeunes.…”
Section: Les Banquiers Rationnent-ils Plus Le Crédit Aux Entreprises ?unclassified
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“…RÉSULTATS D'UNE ENQUÊTE RÉGIONALE SYLVIE CIEPLY * I l y a plus de dix ans ont été publiés les résultats d'une enquête portant sur le comportement des chargés d'affaires entreprises et la nature des relations qu'ils nouent avec leurs clients (Cieply et Grondin, 1999 ;Abdesselam et al, 2002). Ces articles ont montré la faible propension des banquiers à rationner le crédit quand existe une relation de clientèle, quel que soit le statut de leur établissement (mutualiste ou AFB -Association bancaire des banques), le comportement de rationnement étant essentiellement concentré sur la population des prospects et, en particulier, des entreprises les plus petites et les plus jeunes.…”
Section: Les Banquiers Rationnent-ils Plus Le Crédit Aux Entreprises ?unclassified
“…Sur données françaises, on recense les travaux de Cieply et Paranque (1998) pour la période 1985-1995, ceux d'Aubier et Cherbonnier (2007 Une quatrième catégorie de travaux consiste à chercher dans le comportement des banquiers les mécanismes sous-jacents aux situations de rationnement. Cette stratégie d'évaluation a été adoptée par Cieply et Grondin (1999) et Abdesselam et al (2002 ; elle consiste à étudier les décisions que déclarent prendre les banquiers dans une situation d'information imparfaite. Ces articles ont mis en évidence la focalisation des comportements de rationnement fort sur les entreprises qui n'ont pas développé de relations bancaires.…”
Section: Rationnement Du Crédit Aux Entreprises En France : Revue De ...unclassified
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“…Ce faisant, les finances solidaires s'inscrivent pleinement dans ce champ en contribuant au financement de projets qui produisent de la solidarité et du développement durable, c'est-à-dire des projets solidaires. » (Antoniolli et al, 2002, p. 13 (Abdesselam et al, 2002 ;Gurtner et al, 2002) ont alors tenté d'expliquer les facteurs de différenciation et les sources d'efficacité de ces établissements bancaires coopératifs, relativement à leurs confrères sous statut commercial ou public. À l'entrée du XXI e siècle, d'autres les ont observés sous l'angle du « défi de la performance et de la solidarité » (Richez-Battesti et Gianfaldoni, 2006), soulignant leur penchant pour un modèle économique isomorphique « market-based » (Baeck et al, 2014 ;Bruton et al, 2015) aux dépens du « local ».…”
unclassified
“…Cooperative banks still exhibit more decentralised and complex organisational architecture than do their commercial counterparts in spite of the dramatic consolidation and integration they have undergone (Ory and Lemzeri, 2012). Abdesselam et al (2002) carry out a comparative analysis of the role played by loan officers in both cooperative and mainstream major French banks. They conclude that cooperatives grant more discretion to their loan officers in the lending process.…”
mentioning
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