“…En effet, plusieurs études américaines ont montré que la présence d'allergènes de souris est élevée dans les ménages américains [10] et très élevée dans les logements [11,12] et les écoles [12] des quartiers défavorisés. L'étude de Permaul et al [13] a montré que le niveau de Mus m1 était significativement plus haut dans les écoles que dans les logements de ces quartiers défavorisés (0,65 vs 0,10 g/g, respectivement). En revanche, une étude française réalisée sur les logements sociaux et non sociaux de Strasbourg [14] a déterminé une présence modéré de Mus m1 (60 % dans les deux groupes) avec une très faible concentration médiane de Mus m1 (3,2 ng/g vs 5,2 ng/g, respectivement) et une absence d'allergènes de rat, contrairement à l'étude de Perry et al, qui retrouve des allergènes de rat dans 33 % des foyers défavorisés américains [15].…”