“…Depuis les premiers travaux de Mark Armand Rufer (Rufer, 1910) de nombreux échantillons archéologiques ont été étudiés, issus de diférentes régions du globe, qui ont permis de renseigner sur la biodiversité et la répartition des parasites à travers les âges. Au cours des deux dernières décennies, quelques synthèses des données ont pu être publiées (Gonçalves et al, 2003), parfois centrées sur certaines régions du globe Nezamabadi et al, 2011), parfois s'intéressant à des maladies tritement humaines (Araújo et Ferreira, 1995et 1997Araújo et al, 2009 ;et 2013. Toutefois, les données concernant les parasites d'animaux sont peu fréquentes et souvent diluées dans des monographies de sites archéologiques ou des rapports de fouilles.…”